mardi, septembre 21, 2004
Les Royaumes secrets et manfiestes du Moyen Orient
L’Egypte, le cœur d’une civilisation surprenant du monde, est aujourd’hui un pays beaucoup peuplé (le plus peuplé du Moyen Orient) et aride au Nord d’Afrique. Son capital, Caire est la plus peuplé et grosse ville du Moyen Orient avec une population de plus de 15 millions gens. Pendant plusieurs années, le mot d’Egypte a souvent été employé à coté de Hosni Moubarak, dont le règne continue depuis 23 années bien que le nom officiel du parti que dirige le pays avec le pouvoir absolu soit une république ; il me semble que l’ensemble du système du pays doit être renommé comme le Royaume d’Egypte, dont les exigences sont (et seront) présents entièrement.
Un article publié sur BBC aujourd’hui s’est référé des nouvelles de reforme du système politique du pays : « Une nouvelle pensée » , c’est la slogan du parti national (qui appartient à Hosni Moubarak et son fils) . Suite à trop de deux décennies de dictature dans le pays, Hosni Moubarak a l’air accepter la nécessité de reformer son système en cours et permettre une population pauvre et réprimée de profiter de l’ambiance de liberté limitée. Par ailleurs, les concepts de changement, reforme, libertés augmentées et plus de droits humains ont l’air les composants indispensables de la vie mondiale ainsi que, paraît-il, d’Egypte. Mais, dans cette route laborieuse et tardive à une vie mieux, on ne faut pas se méprendre sur quelques développements prometteurs. En effet, la raison d’un slogan de changement sera plus claire quand on analyse le noyau des nouvelles : le partie national de Moubarak, d’une façon furtive et futée, veut présenter son fils comme le président futur du pays. Cependant, la population n’est pas impressionnée par le nouveau visage du parti parce qu’ils peuvent calculer méticuleusement les intentions de la présidant, qui actuellement dirige le Royaume Despotique d’Egytpe .
La situation Egyptienne est très semblable à celle de la Syrie, et L’Irak (précédemment), et La Libye. C’est à dire, ces royaumes secrets et despotiques du Moyen Orient (qui se présentent comme des états socialiste—quelle folie !) avec des royaumes manifestes comme le Jordan, L’Arabie Saoudite, et le Maroc constituent la source de mécontentement social de la crise en cours du Moyen Orient en employant des manières répressives d’opprimer leurs populations. En grand partie, le motif principal d’apparence du terrorisme et fondamentalisme en Moyen Orient est ce que les communautés désabusées des pays mentionnés au-dessus ont été incroyablement réprimé par ces dirigeants. Par conséquent, ces gens qui n’ont su rien que pauvreté et répression, sont tellement susceptibles de propagande des fondamentalistes de la région, qui manipulent les sentiments religieux des gens avec des promesses grandes. Ces royaumes secrets et manifestes doivent être reprochés pour la situation épouvantable de la région.
En outre, pensez-vous que le changement sera soluble en Egypte ?
dimanche, septembre 19, 2004
Voilé, Mal Voilé ou Pas Voilé: Quelle est la différence?
La question du voile… Ceci a toujours été un sujet époustouflant et pour la plupart il a constitué trop de titres des nouvelles à propos du Moyen Orient. Par cette poste-ci, j’aimerais vous présenter une perspective unique et véritable afin de mieux édifier les lecteurs. Malgré que le fait que la majorité des femmes du Moyen Orient le portent soit le case, plus et plus de femmes de la région ont opté de ne pas porter le voile, mais ils ont été entravés.
Quand on analyse la question du voile au Moyen Orient, on doit faire attention de ne pas faire des généralisations pour tous les pays de la région. Dans les pays comme l’Egypte, L’Arabie Saoudite, La Syrie, L’Oman, Le Pakistan, L’Algérie, Le Maroc il y a un penchant d’imbattable de porter, imposer, et être fier du foulard, qu’est porté, par une majorité écrasant des femmes. Tandis que le controverse sur le voile n’ait jamais été tellement intense pendant l’histoire de la région au cours le 20e siècle, ont peut attribuer les réactions en cours dans la plupart du monde Islamique à ce que la modernité a commencé à menacer le traditionalisme et cette collision des civilisations, paraît-il, s’est avérée très bruyant. Veuillez ne me méprenez pas, je ne suis pas contre le voile ; au contraire j’ai horreur de la mentalité épouvantable qui préconise dédain à l’égard des femmes voilé, pas voilé, ou mal voilé.
Les sociétés de l‘Iran et Turquie connaissent bien les problèmes concernant le foulard parce que les réformes de modernité effectuée aux confins de deux pays simultanément étaient les premiers exemples du monde Islamique ; dans les deux pays au cours des années 30s et 40s, les femmes étaient soudainement interdites de porter le voile. Certes, les ramifications ignobles de cette politique se sont avérées très intolérables pour les deux pays, notamment, pour l’Iran, où une population indigné par les politiques vers extrême modernité a renversé la monarchie du chah avec un système beaucoup plus despotique et enfin les femmes du pays, qu’avaient obtenu des droits incroyables, ont doucement les perdus. Pendant 25 années depuis cette révolution, les femmes iraniennes ont travaillé dur à obtenir les droits qu’ils avaient précédemment malgré tous les ennuis qu'ils ont rencontré dans ce sentier laborieux. Actuellement, bien que les lois iraniennes exigent que une femme ne puisse pas choisir entre porter et ne pas porter le voile (c’est à dire, il est tout à fait obligatoire), plus et plus de femmes du pays ont débuté à détester le foulard, qui la majorité des femmes iraniennes ne portent pas quand ils sont à l’étranger.
Les situations de la Turquie et l’Algérie sont un peu différents. En Turquie, il y a toujours deux classes des femmes: la classe moderne soutenant les réformes d’Atatürk, qu’ont toujours tenu la pouvoir véritable et la classe voilé (dont la plupart portent le voile--mais pas pour des raisons politiques-- parce que elles sont habitués grâce aux exigences de leur culture). Les collisions entre les deux et le fait que la richesse du pays soit principalement maîtrisée et dépensée par la classe moderne du pays (qui s’appellent les amants d’Atatürk) et que la classe pauvre où les femmes ont fréquemment été voilé caractérisent le visage de la société turque. Maintenant, la Turquie, avec la France est parmi quelques pays interdisant le voile aux écoles au monde.
Quant en Algérie, l’avènement de la modernité là a évidemment été trop sanglante. Avec plus des femmes séculaires menacé, méprisé, et tué par les rebelles, la solubilité de la modernité en Algérie sera une tâche redoutable (et inévitable).
Comme vous savez, l’interdiction du foulard aux écoles de la France a fâché trop de musulmans du monde qu’ont tenu des nombreuses manifestations afin de montrer leur opposition à cette décision. Ce qui la France a fait est absolument insupportable et je suis complètement contre l’interdiction du voile aux écoles parce qu’on n’a pas le droit de démunir les filles voilées d’aller à l’école. Cependant, il y a une chose très complexe que je n’ai pas pu comprendre : Les opposants de la décision de la France, pourquoi n’ont-ils jamais condamné les positions de leur propre société où les femmes qui ne portent pas le voile sont méprisées ou réprimées ? Pourquoi est-ce que les gouvernements de l’Iran et l’Arabie Saoudite restent tranquilles quand les femmes dans leur pays sont réprime par eux ? Je crois fortement que les gouvernements et les organisations comme eux qui prônent une approche hippocratique au problème n’ont pas le droit de parler ou commenter
Chirin Ebadi, la femme iranienne qu'a gagné le prix de Nobel en domaine de paix a articulé le problème et la solution d’une façon magnifique : « Ceux qui s’ingèrent à la façon que les femmes s’habillent ne peuvent pas accomplir beaucoup. »
Quand on analyse la question du voile au Moyen Orient, on doit faire attention de ne pas faire des généralisations pour tous les pays de la région. Dans les pays comme l’Egypte, L’Arabie Saoudite, La Syrie, L’Oman, Le Pakistan, L’Algérie, Le Maroc il y a un penchant d’imbattable de porter, imposer, et être fier du foulard, qu’est porté, par une majorité écrasant des femmes. Tandis que le controverse sur le voile n’ait jamais été tellement intense pendant l’histoire de la région au cours le 20e siècle, ont peut attribuer les réactions en cours dans la plupart du monde Islamique à ce que la modernité a commencé à menacer le traditionalisme et cette collision des civilisations, paraît-il, s’est avérée très bruyant. Veuillez ne me méprenez pas, je ne suis pas contre le voile ; au contraire j’ai horreur de la mentalité épouvantable qui préconise dédain à l’égard des femmes voilé, pas voilé, ou mal voilé.
Les sociétés de l‘Iran et Turquie connaissent bien les problèmes concernant le foulard parce que les réformes de modernité effectuée aux confins de deux pays simultanément étaient les premiers exemples du monde Islamique ; dans les deux pays au cours des années 30s et 40s, les femmes étaient soudainement interdites de porter le voile. Certes, les ramifications ignobles de cette politique se sont avérées très intolérables pour les deux pays, notamment, pour l’Iran, où une population indigné par les politiques vers extrême modernité a renversé la monarchie du chah avec un système beaucoup plus despotique et enfin les femmes du pays, qu’avaient obtenu des droits incroyables, ont doucement les perdus. Pendant 25 années depuis cette révolution, les femmes iraniennes ont travaillé dur à obtenir les droits qu’ils avaient précédemment malgré tous les ennuis qu'ils ont rencontré dans ce sentier laborieux. Actuellement, bien que les lois iraniennes exigent que une femme ne puisse pas choisir entre porter et ne pas porter le voile (c’est à dire, il est tout à fait obligatoire), plus et plus de femmes du pays ont débuté à détester le foulard, qui la majorité des femmes iraniennes ne portent pas quand ils sont à l’étranger.
Les situations de la Turquie et l’Algérie sont un peu différents. En Turquie, il y a toujours deux classes des femmes: la classe moderne soutenant les réformes d’Atatürk, qu’ont toujours tenu la pouvoir véritable et la classe voilé (dont la plupart portent le voile--mais pas pour des raisons politiques-- parce que elles sont habitués grâce aux exigences de leur culture). Les collisions entre les deux et le fait que la richesse du pays soit principalement maîtrisée et dépensée par la classe moderne du pays (qui s’appellent les amants d’Atatürk) et que la classe pauvre où les femmes ont fréquemment été voilé caractérisent le visage de la société turque. Maintenant, la Turquie, avec la France est parmi quelques pays interdisant le voile aux écoles au monde.
Quant en Algérie, l’avènement de la modernité là a évidemment été trop sanglante. Avec plus des femmes séculaires menacé, méprisé, et tué par les rebelles, la solubilité de la modernité en Algérie sera une tâche redoutable (et inévitable).
Comme vous savez, l’interdiction du foulard aux écoles de la France a fâché trop de musulmans du monde qu’ont tenu des nombreuses manifestations afin de montrer leur opposition à cette décision. Ce qui la France a fait est absolument insupportable et je suis complètement contre l’interdiction du voile aux écoles parce qu’on n’a pas le droit de démunir les filles voilées d’aller à l’école. Cependant, il y a une chose très complexe que je n’ai pas pu comprendre : Les opposants de la décision de la France, pourquoi n’ont-ils jamais condamné les positions de leur propre société où les femmes qui ne portent pas le voile sont méprisées ou réprimées ? Pourquoi est-ce que les gouvernements de l’Iran et l’Arabie Saoudite restent tranquilles quand les femmes dans leur pays sont réprime par eux ? Je crois fortement que les gouvernements et les organisations comme eux qui prônent une approche hippocratique au problème n’ont pas le droit de parler ou commenter
Chirin Ebadi, la femme iranienne qu'a gagné le prix de Nobel en domaine de paix a articulé le problème et la solution d’une façon magnifique : « Ceux qui s’ingèrent à la façon que les femmes s’habillent ne peuvent pas accomplir beaucoup. »
samedi, septembre 18, 2004
Qui est Marjaaneh Satraapi?
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Marjane Satrapi est née en 1969 à Rasht, dans la région de Guilan, sur les bords de la mer Caspienne. Un peu azérie, un peu turkmène, un peu musulmane, un peu zoroastrienne - Iranienne, quoi. Elle grandit à Téhéran où elle étudie au lycée français, avant de partir pour Vienne puis pour Strasbourg, où elle suit les Arts décoratifs. C'est en arrivant à Paris qu'elle rencontre Christophe Blain qui la fait rentrer à l'Atelier des Vosges, célèbre repère des grands noms de la bande dessinée d'aujourd'hui.
“J’ai voulu mettre au clair un certain nombre de choses”, explique Marjane Satrapi dans le studio où elle travaille avec d’autres artistes, place des Vosges à Paris. “Quand je suis arrivée en France, j’ai rencontré tant de gens qui me disaient: “Vous parlez arabe”?... Tant de gens ne font pas la différence entre les Arabes et les Iraniens. Ils ne savent rien de notre culture millénaire. Les gens ont la mémoire super-courte: ils croient que notre pays a toujours été un pays d’intégristes, que la femme n’a aucune place dans notre société, et que toutes les femmes iraniennes sont des corbeaux hystériques."
En fait, nous les femmes iraniennes, on n’est pas des mauviettes: la femme de ménage de ma mère est loin d’être opprimée: elle a mis son mari à la porte. Et moi-même, combien d’hommes j’ai giflé dans la rue après m’être fait insulter... Même pendant les années les plus terribles de la Révolution islamique, les femmes ont porté des armes... Il y a un autre point que je voulais souligner: tant de gens en Europe ont une véritable vénération pour le Chah. Pour moi le Chah était un salaud. Il faut le dire. Certes, il y avait quelques grands hôtels de luxe, le Hilton et le Sheraton, et quelques kilomètres d’autoroutes, mais quand il est parti la moitié de la population était illettrée et vivait dans une misère terrible: c’est inacceptable dans un pays ayant autant de pétrole, tout le monde aurait dû vivre de façon correcte”...
Note: L'écriture au-dessus a été écris par Kaveh, dont le site d'internet est le suivant:
http://kadeh.blogspot.com/
vendredi, septembre 17, 2004
La Turquie et l'UE. Oui ou Non?
L’acceptation de la Turquie à UE a toujours été un sujet controversé à l’agenda de l’europe. On peut attribuer le noyau de leur opposition au fait que les pays européens pour la plupart ne soient pas satisfaits des violations de droits des hommes perpétrés aux confines du pays par les gouvernements successifs au cours des décennies. L’interdiction de la langue kurde, l’existence de la torture aux prisons, le manque de la liberté de parole et ainsi de suite avaient été montré comme les motifs qui empêchent l’UE d’accepter la Turquie.
Depuis sa fondation en 1923, la République de la Turquie était, paraît-il, déclaré comme un état démocratique malgré que les nombreuses violations des droits de l’homme aient été effectuées par le gouvernement. Par ailleurs, la Turquie est le premier pays qu’a donné les femmes le droits de voter dans le monde Islamique. (ce développement était avant quelques pays européens.) En outre, l’avènement des plusieurs réformes sociales introduites par Atatürk a contribués bien à intégrer une classe de la population au monde moderne bien que la majorité écrasante de la population n’en ait bénéficiés pas. Cependant, selon les statistiques et comparaisons, la Turquie possède les circonstances les plus propices et favorables au domaine de la laïcité et les libertés personnelles dans sa constitution (Grâce aux réformes récentes qu’ont réussi à exécuter plus cheminement au champ de la liberté qui ça qui avait effectué par les gouvernements précédents depuis le commencement de l’histoire de la république de la Turquie).
Il y a un sujet époustouflant de lequel on doit tenir compte : La Turquie, aura-t-il un avenir éclatant en faisant partie d’UE ou restera-t-il comme un pays qui s’est embourbé dans une impasse de modernité et traditionalisme ? Surtout, si la Turquie est acceptée par l’UE, quel message sera-t-il donner au monde Islamique ? Peut-il contribuer à la démocratisation du monde Islamique ? Ces questions significatives doivent être répondues…
Depuis sa fondation en 1923, la République de la Turquie était, paraît-il, déclaré comme un état démocratique malgré que les nombreuses violations des droits de l’homme aient été effectuées par le gouvernement. Par ailleurs, la Turquie est le premier pays qu’a donné les femmes le droits de voter dans le monde Islamique. (ce développement était avant quelques pays européens.) En outre, l’avènement des plusieurs réformes sociales introduites par Atatürk a contribués bien à intégrer une classe de la population au monde moderne bien que la majorité écrasante de la population n’en ait bénéficiés pas. Cependant, selon les statistiques et comparaisons, la Turquie possède les circonstances les plus propices et favorables au domaine de la laïcité et les libertés personnelles dans sa constitution (Grâce aux réformes récentes qu’ont réussi à exécuter plus cheminement au champ de la liberté qui ça qui avait effectué par les gouvernements précédents depuis le commencement de l’histoire de la république de la Turquie).
Il y a un sujet époustouflant de lequel on doit tenir compte : La Turquie, aura-t-il un avenir éclatant en faisant partie d’UE ou restera-t-il comme un pays qui s’est embourbé dans une impasse de modernité et traditionalisme ? Surtout, si la Turquie est acceptée par l’UE, quel message sera-t-il donner au monde Islamique ? Peut-il contribuer à la démocratisation du monde Islamique ? Ces questions significatives doivent être répondues…
L'impasse iranienne et les vœux des iraniannes en analysant le passé du pays
Dans une civilisation riche avec une histoire enregistrée de plus de 3000 années comme celle de l’Iran, chaque fois que le pays s'est embourbé dans plusieurs conquêtes, impasses et malheurs, les gens avaient eu l'habitude de se patienter et de se battre d'une façon futée et sage: Iranianise l'ennemi et doucement le faiblir. Ceci a toujours été le cas avec la plupart des ennemis qu'ont envahi l’Iran. Avant de conquête des Arabes, la civilisation de la Perse avait été réputée pour son traitement équitable aux minoritaires vivants aux confines d'elle. En effet, le Grand roi persan, Dariush, avait écrit la première déclaration des droits de l'homme lors de son règne et il avait démontré les caractéristiques réelles de la culture iranienne qu'encore existe malgré que presque 3000 années aient passé.
Après l'époque de l'Islamisation de l'Iran, c'est-à-dire la première conquête arabe du pays, où les Arabes ont luttés fortement en employant les manières brutales de convertir la peuple, l'Iran et Iraniens ont employés des manières furtives pour entretenir leur culture et langue bien que la majorité des langues dans les pays envahis par les Arabes (et qu'actuellement parlent arabe) étaient différente. Comment est-ce que l'Iran a pu maintenir sa culture ancienne en dépit de trop de malheurs énoncés au-dessus? C'est une question dont la réponse est tellement encombrante, mais si intéressante.
l'Iran, grâce à son emplacement stratégique, a été ciblé par plusieurs peuples envahirant la région comme les Turcs, Moguls et Arabes. En forcant la population iranienne d’accepter la religion d’Islam, les Arabes ont brûlé les bibliothèques des Perses puisqu’ils avaient dit plusieurs fois qu’ils ne respectent aucun livre soif le Coran. En imposant les règles islamiques sur la vie quotidienne des Iraniens et en restant avec eux pendent tant de décennies, ils ont commencé à s’adapter à la vie iranienne. Par exemple, il y a des interdictions et contraintes sur la croissance des arts comme énoncé par le Coran. Mais, Iraniens avaient toujours été tellement friandes des arts. En dépit des restrictions, les Iraniens se sont engagés dans arts et ont réussi à créer des nombreux oeuvre d’art notamment sur architecture, peinture, et musique. Graduellement, les Arabes et les autres musulmans ont commencé d’imiter les Iraniens. Presque 90% de ça qu’a été produit dans le monde islamique au domaine des arts a été fabriqué par Iraniens. Il n’existe pas quelquechose qui s’appelle l’art Islamique. Ça qui on l’appelle l’art Islamique et en fait iranien comme l’art a toujours été un élément impératif de la culture iranienne voire avant l’arrivée de l’Islam.
Les Turcs, dont la présence en Iran avaient duré plus de 300 années, ont été doucement civilisés et Iranienisé lors des siècles. Malgré que les Turcs aient envahi I’Iran comme une force dominante, ils se sont peu à peu adaptés à la culture Iranienne et par conséquence ils ont débutés à parler Persan comme leurs langue officielle durant le règne de leur empires comme Seljuq et Ghaznavide. Ils ont doucement adopté les valeurs iraniennes et la modernité grâce aux Iraniens.
L’Iran a toujours été le pionnier des nouveautés du Proche et Moyen Orient et la lutte pour l’acquisition de la démocratie a été lancé par l’Iran. Après avoir affronté trop d’échecs pendant sa lutte pour démocratie en particulier au cours de vingtième siècle au cause des interventions étrangères dans cette lutte (le coup d’état de 1953 est un instance d’intervention d’occident) les Iraniens ont effectués une révolution ratée. Actuellement, Iran est dans une impasse épouvantable. Comme le seul pays du monde Islamique où la majorité de la population approuve la laïcité, les Iraniens voudraient s’intégrer au monde modern et finir leur isolation longue.
Une culture qu’a avec sagesse dominée les autres interventions culturelles et militaires, se débarrassera-t-il du régime en cours qui réprime la culture haute de la nation?
Après l'époque de l'Islamisation de l'Iran, c'est-à-dire la première conquête arabe du pays, où les Arabes ont luttés fortement en employant les manières brutales de convertir la peuple, l'Iran et Iraniens ont employés des manières furtives pour entretenir leur culture et langue bien que la majorité des langues dans les pays envahis par les Arabes (et qu'actuellement parlent arabe) étaient différente. Comment est-ce que l'Iran a pu maintenir sa culture ancienne en dépit de trop de malheurs énoncés au-dessus? C'est une question dont la réponse est tellement encombrante, mais si intéressante.
l'Iran, grâce à son emplacement stratégique, a été ciblé par plusieurs peuples envahirant la région comme les Turcs, Moguls et Arabes. En forcant la population iranienne d’accepter la religion d’Islam, les Arabes ont brûlé les bibliothèques des Perses puisqu’ils avaient dit plusieurs fois qu’ils ne respectent aucun livre soif le Coran. En imposant les règles islamiques sur la vie quotidienne des Iraniens et en restant avec eux pendent tant de décennies, ils ont commencé à s’adapter à la vie iranienne. Par exemple, il y a des interdictions et contraintes sur la croissance des arts comme énoncé par le Coran. Mais, Iraniens avaient toujours été tellement friandes des arts. En dépit des restrictions, les Iraniens se sont engagés dans arts et ont réussi à créer des nombreux oeuvre d’art notamment sur architecture, peinture, et musique. Graduellement, les Arabes et les autres musulmans ont commencé d’imiter les Iraniens. Presque 90% de ça qu’a été produit dans le monde islamique au domaine des arts a été fabriqué par Iraniens. Il n’existe pas quelquechose qui s’appelle l’art Islamique. Ça qui on l’appelle l’art Islamique et en fait iranien comme l’art a toujours été un élément impératif de la culture iranienne voire avant l’arrivée de l’Islam.
Les Turcs, dont la présence en Iran avaient duré plus de 300 années, ont été doucement civilisés et Iranienisé lors des siècles. Malgré que les Turcs aient envahi I’Iran comme une force dominante, ils se sont peu à peu adaptés à la culture Iranienne et par conséquence ils ont débutés à parler Persan comme leurs langue officielle durant le règne de leur empires comme Seljuq et Ghaznavide. Ils ont doucement adopté les valeurs iraniennes et la modernité grâce aux Iraniens.
L’Iran a toujours été le pionnier des nouveautés du Proche et Moyen Orient et la lutte pour l’acquisition de la démocratie a été lancé par l’Iran. Après avoir affronté trop d’échecs pendant sa lutte pour démocratie en particulier au cours de vingtième siècle au cause des interventions étrangères dans cette lutte (le coup d’état de 1953 est un instance d’intervention d’occident) les Iraniens ont effectués une révolution ratée. Actuellement, Iran est dans une impasse épouvantable. Comme le seul pays du monde Islamique où la majorité de la population approuve la laïcité, les Iraniens voudraient s’intégrer au monde modern et finir leur isolation longue.
Une culture qu’a avec sagesse dominée les autres interventions culturelles et militaires, se débarrassera-t-il du régime en cours qui réprime la culture haute de la nation?
jeudi, septembre 16, 2004
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