mercredi, décembre 07, 2005

We are Iran...

“Nous Sommes l’Iran”, un livre récemment écrit par une exile iranienne habitant à Londres est une parfaite illustration de cet incroyable phénomène de « blogging » qui est devenu énormément populaire chez les jeunes iraniens. En effet, saviez-vous que la langue Persane est la quatrième langue plus répandue des blogs du monde ? Selon les estimations récentes, il y a plus de 700,000 de blogs persans écrits par iraniens et grâce aux restrictions en cours dans le domaine de liberté de parole, la popularité de ce phénomène en Iran a connu une croissance significative



Le livre de Nasrin Alavi est unique de plusieurs aspects. En fait, celui-ci est censé être le premier livre divulguant en détail cette étrange tendance de « Blogging » qui s’est subitement répandue en Iran contre le gré du régime présent. C’est-à-dire, le livre manifeste la faim en Iran notamment chez les jeunes de pouvoir s’exprimer dans autant moyens que possible.

Par ailleurs, il dévoile le visage caché de modernisme en Iran ; un modernisme qui a pu rattraper celui de l’occident en dépit des restrictions intolérables imposées sur la vie quotidienne en Iran. Pourtant, l’écrivaine souligne le potentiel de l’Iran grâce à une population bien instruite, une jeunesse au courante des tendance modernes du monde et une volonté d’avoir une démocratie exemplaire en se rappellent les fait historiques et démographiques du pays.

De plus, une grande participation des femmes au phénomène de « blogging » ainsi que le visage moderne des femmes iraniennes, qui constituent plus de 60 de la population universitaire en Iran, et leurs demandes de profiter d’une ambiance d’égalité sont parmi d’autres points soulignés dans ce livre intéressant.

Pour ceux qui veulent se renseigner sur la lutte actuelle en Iran pour l’obtention de la démocratie, les sentiments des enfants de la révolution envers cette grande événement, la contribution des blogs en tant qu’un moyen efficace de s’exprime de même que les faits généraux et très intéressants sur l’Iran, ce livre sera sans doute très utile. Alors, bonne lecture…


dimanche, novembre 13, 2005

Honte, orgueil, colère et sentiment d'échec…



Un écrivain renommé pour ses plusieurs magnifiques romans révélant la réalité cachée qui s’est toujours trouvé dans la société turque, Orhan Pamuk est sans doute un vrai personnage d’intégrité et honnêteté. Issu d’une famille intellectuelle dans un riche cartier d’Istanbul, il a décidé de commencer à réaliser son rêve d’écrire après avoir complété ses études dans le domaine de architecture dont il n’est décidément pas profondément friand. C’est pourquoi il s’est rendu encore une fois à l’université pour étudier le journalisme. Aujourd’hui, il est l’un des plus populaires écrivains de la Turquie; ses romans ont été traduits en nombreuses langues.

Ce qui distingue cet auteur est surtout sa manière distincte de se focaliser sur différents composants de la société turque. Il a déploré les conditions minables des femmes à cause des traditions strictes qui se trouvent dans le noyau de la société turque…Il s’est attaqué aux circonstances ignobles dans les régions en Turquie peuplé par la minorité kurde et leur lutte de s’efforcer de retenir leur culture…Par ailleurs, il a osé toucher l’un des sujets le plus controversé de la Turquie : le massacre arménien perpétré par les nationalistes de « jeunes-turcs » pendant le début de 20e siècle.

Orhan Pamuk est un auteur très bien informé des phénomènes récents du monde et sa conception de l’égalité envers tous les habitants de son pays est très profondément illustrée dans ses romans. Ses critiques du pouvoir extrême de traditionalisme et fanatisme a fâché quelques islamistes qui sont énormément dérangés par ses questions et enquêtes interminables sur ce sujet. Ses critiques manifestes de l’état au sujet de la répression des kurdes et arméniens en Turquie a tout à fait indigné des institutions militaires ainsi que des nationalistes. Tous ses détracteurs se posent la même question : ce bourgeois d’Istanbul, quelle sont ses intentions ?

Un vrai défenseur de libéralisme pour son pays, Orhan Pamuk s’est effectivement focalisé sur la question de « honte » que la nation turque ressent à cause d’une prétention incompréhensible préconisée par les fondateurs de la Turquie. Une honte qui a été enseignée aux turcs vers leur propre culture…En même temps, un orgueil préconisé par le même état à l’égards des minorités habitant dans les confines du pays…Une colère d’un peuple qui a été appris le fait que leur culture ne vaut rien en comparaison de la culture européenne…Il a posé plusieurs questions sur des façons de pouvoir réconcilier les faces occidentales et orientales de la Turquie.



Les romans de Orhan Pamuk et le phénomène qu’il a lancé lui ont gagné une popularité et une reconnaissance mondiale et nationale. Son dernier roman, qui s’appelle « Neige » est déjà devenu un gros succès après sa parution. Le roman s’agit des conditions inouïes des femmes dans le rural est de la Turquie. Il semble que la polémique entourant ses romans ainsi que ses positions controversées sur des sujets si controversés continueront d’attirer l’attention du monde à ce célèbre auteur…Bon Courage à lui.

lundi, octobre 10, 2005

Nous sommes tous des assassins

Peter Singer, le philosophe renommé et controversé de l’Australie, avait été discuté et pourtant critiqué par plusieurs gens pour avoir tenté de défendre le concept de l’euthanasie. Sa conception de l ‘éthique, même si encombrants, parait-il, attirera l’attention de la communié globale.

Dans son entrevue récente avec le magasine réputé québécois, l’actualité Singer a énoncé la contribution des gens ordinaires à la pauvreté de masse de monde et il affirme que nous sommes tous des assassins pour avoir permit l’éruption des famines et pauvreté de masse au monde entier. L’Extrait suivant de la même entrevue est époustouflant et il nous incite à redéfinir notre compréhension de l’éthique :



En route vers un rendez-vous important, vous voyez une enfant tomber dans un étang, où elle risque la noyade. Il vous serait facile de la sortir de là, mais si vous sautez, vos vêtements seront trempés, vos chaussures neuves perdues et vous raterez votre rendez-vous. Que ferez-vous?
Évident, dites-vous? «Mais alors, pourquoi ne réagit-on pas de la même manière si l'enfant en question est au Darfour ou en Haïti?»



Pour en lire plus, Cliquer Ici

mercredi, août 03, 2005

Saaye.com




Ceci est un merveilleux forum iranien que n'est pas affilié du tout avec aucune organisation politique et religieuse. Il s'appelle "Saaye", qui signifie ombre en Persan:


http://www.saaye.com/forum/index.php

Vous y trouverez les suivants:


  • Les débats vivants sur plusieurs sujets controversés reliés à l'Iran.

  • Un regard balancé sur ce qui se passe en Iran et au Moyen Orient.

  • Des perspectives uniques sur la guerre en cours en Irak entamée par les États-Unis.
  • mardi, juillet 26, 2005

    Le fondamentalisme: pourqoui est-ce qu'il devient tellement répandu?

    Est-ce que la démocratie se répand au Moyen Orient après la guerre lancée par les États-Unis ou est-il le contraire ?

    Il est immanquablement évident que la région du Moyen Orient, un bastion des civilisations et religions du monde, expérimente une situation politique épouvantable. Partout dans le Moyen Orient aujourd’hui, on constate les états autocratiques réprimant leurs peuples et les voix de modération, libération et réforme. La soi-disant guerre contre le terrorisme entamée par les États-unis, comment a-t-il influencé les tendances de fondamentalisme et conservatisme autour de la région? En effet, en attaquant et renversent deux régimes dictatoriaux de la région, est que les américaines pourront apporter leur soi-disant concept de démocratie à la région ?

    Tout le chaos a débuté après le 9/11, quand les américaines, qui n’étaient pas habitués du tout d’être attaqué dans leur propre terre, ont affronté une attaque ignoble caractérisée par le mort des milliers de personnes. Jusqu’à cette date-là, les américaines n’avaient jamais été intéressé par ce qui leur gouvernement a effectué à l’étranger, notamment au Moyen Orient, durant le 20e siècle et maintenant. En fait, cette attaque a si effrayé la plupart des américaines, ignorants de ce qui se passe dans les autres parties du monde, que même le publique américaine a commencer à soutenir les précautions extrêmes prises par leur gouvernement. Ceci a créé une ambiance d’inimité parmi beaucoup d’américaines contre les gens venant du Moyen Orient puisque le gouvernement américaine a fait son mieux pour provoquer sa propre population de se mobiliser.

    Prochainement, l’attaque contre le Taliban situé an Afghanistan s’est déroulé. Le but de la guerre avait soudainement changé de revanche à la dissémination de la démocratie. Ceci a toujours été le mot clé des opportunistes ! Le Taliban monstrueux qui a décidemment été accouché par les américaines dans leur lutte contre l’intensification du communisme, avait approché sa date d’expiration après avoir été intensément utilisé. Le communisme avait déjà disparu et il était le temps de se débarrasser de ce monstre. Malgré la plainte de plusieurs organisations de droits de l’homme au sujet de la situation affreuse en Afghanistan, les États-Unis avait choisi de ne pas toucher son monstre.

    En attendant, les politiques adoptées par les États-Unis lors de la guerre en Afghanistan ont incroyablement effrayé tout le monde. Les États-Unis a débuté à avoir recours aux actions injustifiables comme ignorer les décisions prises par les Nations Unis.

    En dépit des avertissements de plusieurs journalistes, l’attaque en Irak était tout à fait inattendue. Cette fois, l’États-Unis avait décidé de détruire un autre monstre qu’il avait fortifié auparavant : Saddam. En fait, on se très clairement souvient des rapports chaleureux entre les deux pays et le fait que les américaines avaient fourni les armes que Saddam a utilisé pour tuer les Kurdes et les Iraniens durant la guerre. Cependant, aux milieux de son règne terrible, les États-unis n’avait nullement critiqué les violations du droit de l’homme perpétrées en Irak et après l’envahissement de Kuwait par Saddam, les américaines avaient compris que sa date d’expiration était arrivée aussi.

    Par ailleurs, la guerre contre l’Irak demeure encore la guerre plus mal justifiée dans la région. En fait, il est très bien connu que Saddam n’a eu aucun rapport avec les membres d’al-Qaide qui est soupçonné d’avoir effectué les attentes de 9/11. Saddam, par sa nature, est connu d’avidement détester et opposer le fondamentalisme car il lui-même préconisait sa idéologie de ba’athisme. Néanmoins, la chute de Saddam a fait la plupart des iraqiens très heureux car ils avaient marre de la répression qu’ils avaient été exposés par lui.

    Comme tout le monde le bien sait, l’Irak a connu un temps beaucoup plus mauvais après le renversement de sa dictateur notoire. Les attentats quotidiens conduits par les militants fondamentalistes là démontrent les signes d’intensification de conservatisme. En fait, comme les nouvelles le diffusent quotidiennement, l’arrivée de la stabilité en Irak dans les circonstances en cours est presque impossible et le pays est malheureusement en route à une impasse.

    Le récit jusqu’à ici est connu par tout le monde. Ce qui est étonnant est ce que dans l’ensemble du Moyen Orient et aux États-Unis le conservatisme a fait un retour. On peut bien revendiquer que dans le Moyen Orient les voix de modération et libéralisme n’avaient jamais été tellement soufflées.

    Une regarde vite autour de la région sera suffisant pour piger l’avènement de ce conservatisme et dictature à la région. En Irak, les militants ont tourné la vie quotidiennes des gens ordinaires à un cauchemar. En fait, les militants fondamentalistes n’ont jamais été tellement forts au Moyen Orient. On a commencé à voir en Irak les événements défavorables comme le meurtre des intellectuels, la menace des femmes qui ne veulent pas se voiler, la radicalisation forcée de la société Irakienne malgré que ils ne soient pas d’accord avec l’agenda des militants. En effet, les questions comme suivantes par les Irakiens ordinaires sont toujours très courantes de nos jours : « Ces militants fondamentalistes, d’où sont ils venu ? ».

    D’ailleurs, dans un autre coté du Moyen Orient, en Iran, les conditions se sont avérées très ignobles. Les réformateurs, qui avaient avidement cherché à libéraliser la constitution iranienne, ont été attaqué et démoralisé par les américaines et par les conservatrices iraniennes. En fait, la guerre lancée par les américaines a bien servi les conservatrices en leur permettant de tout à fait faiblir les réformateurs en les accusant de vouloir renverser le régime dans un temps sensitif. Toutes les actions américaines contre l’Iran ont seulement intensifié l’audace des conservatrices. C’est pourquoi le nombre des exécutions conduites par le régime s’est augmenté, centaines des magazines et journaux ont été fermés, et tant des intellectuels ont été emprisonnés.

    Alors, merci beaucoup États-Unis ! Nous vachement apprécions ce qui tu as fait récemment dans la région !

    samedi, juin 11, 2005

    La dictature continue avec des déceptions démocratiques

    Avant les élections présidentielles en Iran, presque tous les 1010candidates qui s’étaient présenté ont été disqualifié par les conservatrices sauf six personnes qui, selon le conseil des gardiens, possèdent les qualifications révolutionnaires. Parmi ces six candidates, les noms comme Hashemi Rafsanjaani, Mohammad Bagher Qalibaf, Ali Larijani, Mahmoud Ahmadinejad, Mahdi Karroubi, Mohsen Rezaei se trouvent. Parmi ces personnes mentionnées au-dessus, le candidate qui va sûrement être le président future de l’Iran est clair dès maintenant : Monsieur le roi Rafsanjaani. Ensuite, à cause de l’intervention du guide suprême, Khamanei, le favori des réformateurs, Moein a obtenu un permit tardif pour participer dans les élections comme un candidat. Cependant, sa présence ne causera aucun changement substantiel puisque ses actions, s’il est élu, seront limitées par les conservatistes qui possèdent le pouvoir vrai en Iran.



    Hashemi Rafsanjaani, Monsieur le roi de l’Iran, a toujours poursuivi une politique futée en oscillant entre les conservatistes et réformateurs durant les temps critiques. Monsieur le roi, qui (au dire de plusieurs sources il contrôle la richesse du pays y compris les revenus du pétrole et l’ensemble de l’industrie du pays) a ciblé les jeunes du pays pour sa campagne électorale. C’est un contraste frappant en considérant le fait que monsieur le roi s’était enregistré parmi les conservatistes qui s’opposent ardemment aux libertés des jeunes. Toutefois, pendant sa campagne, monsieur le roi a répétitivement prononcé la nécessité de faire la jeunesse heureuse et d’ouvrir l’Iran au ouest. Par ailleurs, lors de campagnes des conservatistes, on se rendra compte du fait que les symboles conventionnels du régime comme la religion n’ont pas été employées. La raison ? Très simples. Les conservatistes sont au courant que les jeunes qui constituent la majorité des votants de cette élection sont assoiffées pour une vie décente et une ambiance pleine des libertés. Ainsi, ils savent que les jeunes ont tout à fait marre de la rhétorique de religion et une vie conservatiste. En ce moment, en cachent leurs buts véritables et en apparaissant « chaleureux » aux votants, ils visent à décevoir la population encore une fois.

    Alors, on pourra aussi continuellement se demande cette question époustouflante : « Puisque l’Iran est un dictature, pourquoi est que les gérants veulent que la population vote ?.La réponse est très simple : ils veulent augmenter la légitimité du régime en cours pour qu’ils puisse dire à tout le monde « Regardez, nos élections sont participées par plus de la moitié de notre population. Nous sommes les représentants légitimes de l’Iran ». Une élection qui ne reflétera pas les vœux de la nation iranienne doit être boycottée.

    jeudi, mai 12, 2005

    La fin d’une ère longue : Paykan la voiture emblématique d’Iran va prochainement dire adieu aux Iraniens.



    Poser cette question à tout le monde en Iran et vous presque recevrez les réponses semblables de la majorité des gens : Quel est un Paykan ? « C’est le symbole des routes Iraniennes. », « ça représente une époque inoubliable de la vie de l’industrie d’auto en Iran. ». En effet, on peut des fois entendre les gens dire que « Paykan est synonymie d’une voiture en Iran ». Une voiture qui a si long occupé les routes d’Iran, sera-t-elle oubliée si rapidement par les Iraniens ?



    La version de Hillman Hunters, une compagnie britannique qui produisait ces voitures durant les 60s pour les besoins des britanniques, cette auto est apportée en Iran par le chah afin de commencer la fabrication des voitures dans les confines d’Iran. Le résultat c’est avéré incroyable. Après son avènement en Iran, cette automobile est devenue tellement populaire parmi les bourgeoises Iraniennes que durent les années 70 il était un rêve plaisant d’en avoir une.

    Aujourd’hui, si quelqu’un regarde les routes Iraniennes attentivement, on se rendrai compte du fait que les Paykan constituent la majorité des voitures. En effet, dans un pays comme Iran où il n’est pas difficile d’être un chauffeur d’une taxi, les Paykans sont utilisé comme un moyen principal de transport. Ils sont si abondants dans toutes les villes du pays que en regard de l’occident les taxis sont tellement bon marché et ils sont plus utilisés par le public.

    Cependant, les mauvaises ramifications de ces automobiles sont très évidentes dans la qualité affreuse de l’air de la ville Téhéran, un métropole de 12 million gens où ils est parfois difficile de respirer du tout grâce à fait que ces voiture (qui sont copieux dans la capital) utilisent la technologie vielle, même ceux qui sont produits en ce moment. En effet, il sera une décision convenable de toute à fait cesser de produire ces voiture et les remplacer avec ceux qui respect l’environnement.

    Adieu Paykan. J’espère que je ne te jamais verrai……

    dimanche, janvier 23, 2005

    Réagissons! Il faut faire l’opposition ! Contre une guerre éventuelle entre l’Iran et les Etats-Unis. Veuillez signez la pétition




    Veuillez cliquer ici


    L’un des débats les plus controversés de nos jours est décidemment une attaque vraisemblable américaine contre l’Iran. En effet, ce sujet a été couvert plusieurs fois par la presse de l’occident, notamment dans les journaux réputés comme The New Yorker, qu1 a introduit cette affirmation dont implémentation peut entraîner les ramifications nuisibles.

    D’ailleurs, l’administration américaine, durant son inauguration récente que s’est déroulée à Washington, n’a pas hésité à prononcer le choix militaire contre les installations nucléaires en Iran et l’état d’Israël a ouvertement menacé l’Iran de laisser tomber ses ambitions nucléaires. L’excuse que ces deux pays ont suggéré est le fait que le les iraniens aient souffert les tourments énormes en raison de ce régime qui déprime son propre peuple. En fait, alors que la lutte exigeante pour la fondation de la démocratie en Iran encore continue (malgré des obstacles substantielles qui empêchent énormément ce processus présentement ; on doit se rappeler que la seule façon que l’occident peut aider le processus de la démocratisation en Iran est appuyer les défenseurs de ce concept de démocratie en Iran comme Chirin Ebadi, Faatemeh Haghighatjou, Akbar Ganji et les personnages comme eux qui ont lutté studieusement d’améliorer les vies des Iranien(ne)s.) Donc, au lieu d’avoir recours à la guerre, ce qui l’occident doit faire est renforcer son appuie pour les voix qui se battent pour l’obtention de la démocratie des Iranien(ne)s. En effet, la réaction de l’occident à l’égard de la lutte actuelle pour démocratie en Iran a été très passive.

    Une autre chose dont on doit tenir compte est le fier national des Iraniens. En comparaison de l’Iraq, l’Iran possède une histoire profonde et une civilisation fascinante qui a été léguée aux Iranien(ne)s et ce fier national ne jamais permet de l’envahissement de l’Iran. Veuillez signer la pétition au-dessus et inviter vos ami(e)s de la signer aussi. La guerre n’est pas une solution efficace de terminer la dictature en Iran. On doit essayer les autres manières.