jeudi, mai 12, 2005

La fin d’une ère longue : Paykan la voiture emblématique d’Iran va prochainement dire adieu aux Iraniens.



Poser cette question à tout le monde en Iran et vous presque recevrez les réponses semblables de la majorité des gens : Quel est un Paykan ? « C’est le symbole des routes Iraniennes. », « ça représente une époque inoubliable de la vie de l’industrie d’auto en Iran. ». En effet, on peut des fois entendre les gens dire que « Paykan est synonymie d’une voiture en Iran ». Une voiture qui a si long occupé les routes d’Iran, sera-t-elle oubliée si rapidement par les Iraniens ?



La version de Hillman Hunters, une compagnie britannique qui produisait ces voitures durant les 60s pour les besoins des britanniques, cette auto est apportée en Iran par le chah afin de commencer la fabrication des voitures dans les confines d’Iran. Le résultat c’est avéré incroyable. Après son avènement en Iran, cette automobile est devenue tellement populaire parmi les bourgeoises Iraniennes que durent les années 70 il était un rêve plaisant d’en avoir une.

Aujourd’hui, si quelqu’un regarde les routes Iraniennes attentivement, on se rendrai compte du fait que les Paykan constituent la majorité des voitures. En effet, dans un pays comme Iran où il n’est pas difficile d’être un chauffeur d’une taxi, les Paykans sont utilisé comme un moyen principal de transport. Ils sont si abondants dans toutes les villes du pays que en regard de l’occident les taxis sont tellement bon marché et ils sont plus utilisés par le public.

Cependant, les mauvaises ramifications de ces automobiles sont très évidentes dans la qualité affreuse de l’air de la ville Téhéran, un métropole de 12 million gens où ils est parfois difficile de respirer du tout grâce à fait que ces voiture (qui sont copieux dans la capital) utilisent la technologie vielle, même ceux qui sont produits en ce moment. En effet, il sera une décision convenable de toute à fait cesser de produire ces voiture et les remplacer avec ceux qui respect l’environnement.

Adieu Paykan. J’espère que je ne te jamais verrai……