dimanche, décembre 19, 2004

le début d'un périple exigeant: La Turquie et l'UE



Cette semaine a été un temps crucial pour la Turquie, dont le but véritable est de faire partie d'UE comme un membre. Après les négociations longues et frustrantes qu'ont duré pendant plusieurs mois cette année, le premier ministre de la Turquie a annoncé le succès du sommet qu'a eu lieu à Bruxelles. Malgré que Tayyip Erdogan, le premier ministre de la Turquie n'était pas entièrement content de ses acquisitions dans le sommet (au dire de ses remarques, la Turquie n'a pas pu achever beaucoup sur la Chypre), il a évalué ce qui s'est passé en Belgique comme en développement énormément important. En effet, il a raison. Les décisions prises dans ce sommet comportent les signes les plus positifs à l'égard de la Turquie dans sa lutte d'être européenne depuis le 1961. Cependant, quels seront les résultats de l'admission de la Turquie et aussi quels sont les obstacles en voie de l'admission?

Tout d'abord, le cas des libertés culturelles des minorités habitant aux confines de pays a toujours été rapproché par l'UE et les plusieurs organisations de droits des hommes. En fait, les Kurdes, dont la population est environs 20 millions en Turquie n'ont pu jamais avoir la liberté de pratiquer leur culture, langue et leurs traditions qu'ont été tout à fait bannies par le gouvernement de la Turquie car selon la constitution extrêmement nationaliste du pays, la seule langue que peut être parlée dans le pays est turque et par conséquence, tout les gens vivant en Turquie sont Turcs. Alors, malgré que un changement substantiel se soit déroulé cette année, permettant officiellement les Kurdes de se profiter des émissions Kurdes de la télévision nationale du pays (un développement chouette dans l'histoire de la Turquie à l'égard des Kurdes bien que en comparaison des libertés qu'existent en Europe, ceci soit un développement insignifiant), l'envergure des libertés limitées n'ait pas l'air de satisfaire les Kurdes de la Turquie qu'ont, d'une façon attentive, débutés de se battre plus courageusement pour l'obtention de leur droits culturelles. Dans une des communiqués publiée par eux, ils se sont demandé la raison pour laquelle la Turquie se batte agressivement pour la reconnaissance des droits culturelles de moins de 200.000 Turcs habitant en Chypre tandis que les droits de plus de 20 millions de Kurdes en Turquie sont négligés.

Cependant, en dépit des signes positifs exhibés par l'UE, il peut prendre la Turquie presque 15 ans de pouvoir être un membre d'UE. Dedans cette période, la Turquie est censée réaliser plusieurs réformes démocratiques afin d'améliorer sa chance d'être européenne. Le temps montrera la détermination des Turcs d'être démocratique.

En autre, quelques pays de l'Europe sont véritablement soucieux d'avoir la Turquie comme un membre en Europe. Les sources de leurs soucis sont nombreuse: Parmi eux, il encore existe une peur de l'Islam. En effet, les tendances religieuses dans la Turquie sont très fortes et ceci a tracassé l'Europe qui ne pourra pas être contente d'avoir un frère musulman. Parmi les autres sources d'inquiétude, on pourra nommer le fait que la Turquie soit maintenant le pays le plus pauvre en Europe avec une population de 70 millions. Ce qui effraye les européens, c'est qui il sera très coûteux de nourrir un pays peuplé comme la Turquie (où le nombre des chômeurs est très haut comparé à la moyenne européenne) et d'améliorer son économie...

Par ailleurs, l'admission de la Turquie en UE peut être très bénéfique à la région du Moyen Orient où le concept de la démocratie est encore une notion avant-garde. Le pays qui peut en profiter le plus est l'Iran, où la lutte pour la démocratie pourra accélérée avec les réformes démocratiques en Turquie.



lundi, décembre 13, 2004

La démocratie, peut-il venir en Iran?





Un régime si détesté et si méprisé par la majorité écrasante de la population Iranienne, comment peut-il survivre? Pourtant, comment a-t-il succédé à exister pendant 25 ans? La réponse à cette question peut sembler un peu époustouflante, mais si vous lisez attentivement ce qui je écrirai au dessous, vous constaterez ces faits mal connus de l'Iran.

Le seule moyen de l'existence du régime en cours en Iran est l'usage de torture, répression et une politique de brutalité contre l’opposition. En effet, selon les donnés des organisations de droits de l’homme, le nombre des exécutions (notamment pendaisons) effectué par l’état le met parmi les cinq pays les plus répressives du monde. En outre, l’état pathétique de l’opposition Iranienne, qui s’est située à l’étranger, particulièrement aux Etats-Unis, est un autre facteur pour le prolongement de la vie du régime. Les supporteurs différentes des autres oppositions, y compris les monarchistes, Le Mojaheddineh Khalg (une organisation notoirement despotique) et les républicaines n’ont pu jamais atteindre à un accord pour former une opposition chouette et forte pour récuser les mollahs qu’ont incroyablement bénéficié du manque de l’unité entre les Iraniens. C’est-à-dire, bien que la majorité des gens aient marre du système présent, il n’y a aucune solidarité sur quelle sorte du système doit régner en Iran après le départ des mollahs. Cependant, la plupart d’en évidemment favorisent une démocratie ressemblent aux démocraties de l’Europe. La source de conflit est sur la voie d’accomplir ce but redoutable.

Néanmoins, un des facteurs le plus importants qu’a prolongé le règne de ce régime est le soutien implicite qu’il a pris des pays européens, notamment La France, La Royaume uni et L’allemande. Ces pays ont toujours soutenu le régime d’une façon secrète et ils ont catégoriquement ignorés la lutte des Iraniens pour l’acquisition de la démocratie.

Une question importante sur l’avenir de l’Iran : Est-ce que cette situation ignoble continuera ou est-ce que les Iraniens succéderont à établir l’état démocratique et laïque qu’ils ont toujours envisagés ? En analysant les tendances en cours en Iran, on pourra bien conclure que la réponse à cette question est non. En Iran, depuis la fondation du régime, un penchant étrange s’est déroulé : le départ des gens instruits, intelligents et talentueux . En fait, selon les statistiques, le nombre des gens instruits qui quittent l’Iran est 200.000 gens par année. Les gens qui ne peuvent plus tolérer l’ambiance répressive du pays optent pour quitter le pays. Pour cette raison spécifique, l’avenir pour l’Iran n’apparaît pas très éclatant. Cependant, une explosion sociale a l’air très imminente. Si cette explosion peut se transformer à une révolution, on pourra avoir d’espoir sur l’avenir.


dimanche, décembre 05, 2004

Comment faire une société non Islamique et non éthique ? Installer un régime théocratique!



Lors du début de régime en cours en Iran, ses créateurs et architectes avaient envisagé une utopie étrange pour l’ensemble de la société Iranienne : apporter les valeurs traditionnelles et tout à fait se débarrasser de ce qui on peut considérer comme la modernité d’occident. A cette époque là, c’est-à-dire, durant les années de la révolution, la société Iranienne avait eu marre de la modernité imposée par le chah, qu’avait habituellement méprisé la population rurale et religieuse. En effet, plus de la moitié de la population Iranienne ne savaient pas lire et écrire et pour eux une transition incroyablement rapide prônée par le chah à la modernité était entièrement inacceptable. Pendant les époques différentes de son histoire, l’Iran a toujours été un pays des règles extrêmes, traditions extrêmes et pourtant les mentalités extrêmes.

Après plus de deux décennies depuis la fondation du régime en cours en Iran, on pourra facilement se rendre compte des événements tellement contradictoires dans les confines du pays en comparaison de l’époque du chah :

  • Durant le règne du chah, la plupart de la population était fermement religieux en pratiquant et observant les règlements de l’Islam. En effet, les fêtes religieuses avaient été célébrées vivement dans le pays malgré que le chah préconise une position excessivement occidentale et modern. Cependant, après le règne du régime présent, l’intérêt du public en religion et traditionalisme s’est diminué progressivement. En effet, selon une enquête effectuée récemment en Iran, la majorité écrasant de la population Iranienne (notamment la jeunesse) ne pratique à peine les exigences de la religion. En effet, les mosquées en Iran sont souvent vides puisque il n’y a pas plus de personnes désirant à prier.

  • Avant la révolution, le concept d’éthique était soluble dans la société Iranienne et les valeurs familiales constituaient la partie la plus importante de la société. Mais, la théocratie a l’air de si endommager et nuire à la structure familiale de la population Iranienne que les valeurs éthiques ont changées considérablement. En effet, selon les statistiques et prédictions indépendants, il y a presque une million prostitues en Iran, un tendance qui n’était pas tellement courant durant le règne du chah.

  • Par ailleurs, les femmes de l’Iran, qui n’étaient pas au courant de leur puissance légal avant la révolution, ont commencé à lutter pour leur droits après avoir les perdus grâce aux Ayatollahs. Bien que les femmes d’Iran avaient le droit de voter (dans une région comme le Moyen Orient la plupart des pays musulmans ne permettent leurs femmes de voter—L’Iran et la Turquie ont toujours été des exceptions) durant l’époque du chah, elles n’étaient pas intéressées par l’exercer car la majorité écrasante des femmes Iraniennes n’étaient pas bien instruites. En effet, les femmes de l’Iran aujourd’hui se battent agressivement contre les ayatollahs afin de adopter la modernité et afin de améliorer leurs positions dans la société. D’après un statistique récent, plus de 65% de la population universitaire en Iran consiste aux femmes (Qui signifie que les femmes de l’Iran sont aussi bien éduqué que les hommes!).



  • Quant au sujet controversé de foulard, bien que la majorité des femmes Iraniennes étaient voilées lors du règne du chah (Quand il n’étais pas interdit de ne pas porter le foulard), aujourd’hui plus et plus de femmes ont marre du foulard et en effet il démontrent leur réaction en se mal voilant et ayant maquillage. En effet, chaque fois que vous voyez l’image d’une femme Iranienne qui est mal voilé, vous pouvez bien constater que elle ne veut pas se voiler.



    Après avoir se rendu compte de ces événements bizarres en Iran, on toujours se demande : Les Ayatollahs, ont-ils accomplis leur but véritable ? On ne peut pas répondre à cette question. Cependant, on pourrait bien conclure que les Ayatollahs ont achevés ce qui Atatürk en Turquie n’a pas pu achever : la création d’une société laïque au milieu des autres sociétés religieuse du Moyen Orient. Qu’est-ce que on peut dire ? Mmm.. Félicitations !


  • jeudi, décembre 02, 2004

    Laquelle chanson?

    Pendant les années de 70s, il y avait une concurrence implicite entre les musiques de l’Iran et de la Turquie. En effet, les relations entre les deux pays étaient tellement proches qu'ils se sont toujours affectés dans plusieurs domaines, mais notamment dans le domaine de la musique. L’art de la musique a rencontré un échec ignoble après la révolution en Iran et s’est situé aux Etats-Unis, où la majorité des chanteurs/chanteuses expérimenté(e)s de l’Iran actuellement habitent grâce aux restrictions imposées sur leurs arts dans leurs propre pays. Les deux chansons que vous pourriez écouter ci-dessous démontrent la même chanson chantée par des chanteuses différents. La version originale (chanté par Ajda Pekkan, une chanteuse très réputée de la Turquie qu’encore produit ses albums bien connues) est en français . La version Persane est chantée par Marjan, qu’a cessée de chanter après la révolution en Iran.

    Viens Dans Ma Vie en Français(Ajda Pekkan)

    La Version Persane chantée par Marjan